Sentiment d'appartenance VS Télétravail : le Match.
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Sentiment d'appartenance VS Télétravail : le Match.

 
Bon, je n'irai pas par quatre chemin.
Le télétravail. C'était pas mal.
Les calls en pyjama, les visios avec ses enfants. C'était marrant.
Les trajets de 1 min pour aller au bureau. C'est validé.
L'ordi sur le lit, le canapé, la cuisine, la salle de bain.
Le livreur qui nous trouve toujours chez nous.
La proximité directe du frigo.
Le lecteur vinyle pour démarrer la journée.
La douche 5 min avant la première visio.
La musique à fond.
Les pieds nus pendant les soutenances.
Les soutenances dans le lit.
Les soutenances dans la cuisine.
Les soutenances sur le balcon, dans la salle de bain, dans le couloir.
C'est cool.
Même les enfants qui hurlent pendant une réunion, finalement, ça a son charme.
Mais voilà.
J'ai mal à mon petit cœur.
 
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J'ai mal à mon petit cœur parce que je me sens loin. Loin de mes collègues, loin de ma boîte, loin de ce qui nous anime, loin du stress commun, loin des joies communes, loin des combats, loin des fou-rires, des crispations et des amitiés.
Je me sens loin alors que je suis 100% là. 110%.

Mais l'ADN perso remplace petit à petit l'ADN pro.
Et les calls n'y pourront rien changer.
🙈
Mi mars, le magazine ADN nous apprenait que pour 75% des dirigeants, le télétravail etait un booster d’engagement des collaborateurs. Les salariés déclarent d'ailleurs à 88% que le télétravail accroît leur productivité. (source)
Mais sur le long terme, quel effet cela a-t-il ?

Le salarié a besoin de faire partie de l'entreprise et de reconnaissance de ses pairs.
Et trois semaines seulement après le début du confinement, 39% des télétravailleurs se sentaient déjà isolés. (source)

Alors quelles solutions ?
Exit le Team Building qui n'est en rien Covid-compliant.

(Si le suspens est trop fort et que vous voulez avoir la réponse tout de suite-rendez-vous au dernier chapitre de le tribune, je vous y attends avec des chips au vinaigre.)
 
 
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Non, nous ne sommes pas une somme d'individus.

 
Et si.
Je préfère me contredire tout de suite pour ne pas perdre de temps.

Nous sommes une somme d'individus.
Evidemment.
Et de plus en plus.
Mais nous n'avons d'autres choix pour engager, pour être combatif ensemble, pour réussir, pour avancer, que de nous rassembler sous une même bannière.

Nous ne travaillons jamais pour nous et uniquement pour nous. Nous travaillons toujours pour :
  • construire (un projet, un service, un outil au service de...)
  • nous battre (pour une cause, un projet commun, une reconnaissance...)
  • progresser (sur soi, pour les autres, pour la société...)
  • s'épanouir (seul et ensemble)
  • offrir (à soi et à l'autre)
  • notre égo (pour soi par rapport aux autres)
  • ou bien sûr par nécessité.
 
Et ne nous racontons pas de fausse histoire.
L'argent est évidement la première des raisons pour une majorité de salariés. Nous travaillons d'abord pour gagner de l'argent parce que nous en avons besoin pour vivre.
 
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Mais quel poids cela a t-il face à l'effort demandé par le travail, à la fatigue provoquée, au réveil qui sonne, aux clients colériques et au stress des échéances ?
Quel poids cela a t-il face au besoin de profiter et de trouver un sens à sa vie, de vivre tout simplement ?
Quel poids a t-il lorsque le travail n'est qu'un travail ?
 
Imaginez maintenant, que dans votre entreprise, vos collaborateurs ne travaillent que par nécessité, sans envie, sans passion...
...
 
🙉

"Ce vécu de crise a généré pour la grande majorité de nouvelles exigences à l'endroit du travail : une recherche de sens plus aiguë" explique Sophie Cot Rascol - Psychologue clinicienne spécialiste de la qualité de vie au travail - dans un article du 23 juin 2020 de la Dépêche. (source)

Que faire pour que cette quête de sens rejoigne la raison d'être et d'agir de l'entreprise ?
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Incertitudes et quête de sens

 
Pourquoi a-t-on besoin d'un "pourquoi" ?
Pourquoi a-t-on besoin d'un but commun, d'une raison d'être et d'agir pour engager, pour crier "On va tout déchirer" et voir tous les collaborateurs se lever et crier à leur tour ?
 
Parce que :
 
Vas-y, on a qu'une vie, je me barre de cette boîte. Je ne comprends plus ce qu'on y fait.
Vu, lu, entendu.
 
Je ne me reconnais plus dans leurs valeurs. Ce n'est plus moi.
Vu, lu, entendu.
 
Ces citations ne sont rien d'autres que ce que, en temps normal, vous entendez à la machine à café de la part de collègues.
 
Alors si dans une période de travail "classique", il n'y a d'autres choix que de redoubler d'effort pour faire vivre "le sentiment d'appartenance" et donner à chacun le sentiment qu'il est effectivement à sa place, le télétravail n'est-il pas en train de mettre à mal "l'engagement" des salariés dans leur mission de salarié ?
 
Et un "pourquoi", est-ce suffisant ?
Proclamer ses valeurs ?
Diffuser un manifeste de marque ?
Suffisant ?
 
Non. Parce qu'ils sont loin. Chez eux. Et qu'ils ont mal à leur petit cœur.
 
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🙊
Dans un sondage auprès de 650 actifs Belges, 2/3 des salariés indiquent que leurs collègues et l’ambiance au sein de l’entreprise leur ont manqué pendant le confinement. Deux tiers disent aussi avoir pris conscience de l’importance des contacts avec les collègues pour leur motivation et leur plaisir à travailler. (source)

Alors, il faut les rassurer. Mais pas seulement.
Les motiver. Mais pas seulement.
Leur parler. Mais pas seulement.

Surtout que les gens commencent à se demander s'ils travaillent à la maison ou dorment au bureau. (source)

Il faut pouvoir les embarquer, les projeter dans un imaginaire.
Il faut les sortir de leur quotidien, des calls, des visios, du lit-boulot-cuisine.

Il faut une histoire forte. Un story-telling digne d'un film. Pour qu'ils se rassemblent, tous, autour d'un objectif commun.
 

Et si on jouait ?

 
Redonner du sens, faire vivre ou revivre la confiance, rendre heureux, productif, engagé, engagé, engagé. Pour faire vivre l'envie et donner à vos collaborateurs l'envie d'avoir envie de s'engager, pour allumer le feu qui est en eux, il va falloir plus que de la communication.
 
Il va falloir jouer.
 
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Jouer seul ou ensemble, mais jouer.
De chez vous, de partout, mais jouer.
Jouer pour apprendre, pour se détendre, pour être ensemble, pour se former, pour s'intégrer, pour s'engager.
 
"Le télétravail peut être source de bien-être et d’engagement quand il est bien conçu et accompagné. Les entreprises doivent s’outiller pour réussir l’organisation de télétravail", ajoutent Sophie Cot Rascol et Nadezhda Butakova (toutes deux psychologues au sein du cabinet de conseil en qualité de vie au travail Empreinte Humaine. Source)
 
Mais ne pas jouer n'importe comment.
En digital forcément pour garantir sa sécurité et le faire avec le champion de l'engagement : le Social Game.
 
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Social Game = Story-telling + Gaming + n'importe quel sujet = Engagement
 
Avec un taux d’engagement de 70 à 90%, le Social Game apparait comme la réponse idéale pour re-créer du lien.
 
Il faut jouer pour devenir sérieux.
Aristote.
 
 
Découvrez nos cases ci-dessous :
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Accenture, avec l’aide de Brainsonic, a réussi à fédérer plus de 70% de ses collaborateurs en décloisonnant l’ensemble des services de l’entreprise grâce à un Social Game.

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Au-delà du télétravail, le Social Gaming a permis à la SNCF, avec l’aide de Brainsonic, de former ses collaborateurs à un meilleur emploi de ses applications via des jeux basés sur des techniques de LMS (Learning Management System). 
A découvrir ici.
 

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Elior a su, dans une campagne aux accents hollywoodien, sensibiliser l'ensemble de ses collaborateurs aux enjeux liés à la Cyber-Securité. Campagne multi-primée.
 
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